
De la politique sans éthique ou des politicards nomades … !
Un changement de position et un rapprochement sans hontes !
L’un se veut comme la personne qui doit décrisper le climat politique même s’il en est « un » catalyseur majeur et logorrhéique consonant, donc, acteur du climat actuel et l’autre se veut comme victime de sa faculté d’analyse, pour ce dernier, son premier choix était une faute grave. Le problème est que de part et d’autre, il faut s’en méfier, car ce sont des haineux qui sont devenus des empathiques. Quand un non décontracté veut décrisper!
De l’exil forcé au retour étriqué
Il a été désigné comme le poumon de l’attaque qui visait le domicile du président de la république mais s’en est sorti quitte. L’attaque qui a eu lieu le 19 juillet 2011 tient des acteurs secondaires qui ont écopés de 15ans de prisons certains et d’autres une peine de prison à perpétuité. Quand le principal acteur est gracié, cela envoie à réfléchir sur le bien fondé de cette attaque. Est-ce que ce gracié est seulement chanceux ou bien était-il de mèche avec le président dès au début pour planifier une pseudo-attaque afin d’éliminer certaines personnes qui pourrait être gênantes ? La question reste ouverte !
Ce qui intrigue, c’est quand, il se désigne comme étant celui qui représente une nouvelle orientation détachée de toute dictature et qu’il veut coûte que coûte que le parti qui est selon lui sa fabrication lui revienne. Sur une télévision sénégalaise, celui qui est vu aujourd’hui comme démineur politique dit que les hommes de son principal adversaire actuel ont essayé de le tuer pour faire endosser cela au pouvoir afin de dire que le pouvoir malinké a tué un Peulh tout comme les Peulhs se plaignent de la mort de Diallo Tély. Si quelqu’un qui prononce des paroles comme ceux-là est capable de décrisper ou encore d’apaiser au lieu d’enflammer, on attend voir très bientôt les conséquences et en même temps nous verrons objectivement ses avancées dans le domaine de l’éducation sur lequel il réfléchit.
Du catégorique au point A au plus catégorique au point B : l’excès
Décidément, ce faux Imam de la politique guinéenne ne cessera jamais de nous distraire. Il avait un excès lorsqu’il disait que son ennemi d’alors exploitait ses parents, il était dans une posture vraiment brutal, il l’a d’ailleurs reconnu au siège de son ancien ennemi juré qui est désormais son ami le plus aimé de tous. Il affirme sans réfléchir, il se fait rattraper par ses propos mais il n’a même pas le dégoût de son propre être à travers ses bavures communicationnelles. Il devrait juste disparaitre un peu de la scène politique guinéenne au lieu de revenir à chaque moment avec Dieu ou le prophète a dit, on dirait que nous sommes dans une mosquée pour un serment. Il reconnait s’être trompé, c’est bien mais ses nouveaux amis doivent faire attention, car il raconte du n’importe quoi maintenant sur son ancien mentor puisqu’il n’a plus aucun intérêt avec lui. Ceci dit, il peut ainsi raconter la même chose sur ses nouveaux amis d’aujourd’hui lorsqu’il aura le plus offrant. Politik-magnin-deh
BALDE, Elhadj Ousmane, Sociologue.
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